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Deux minutes avec Tamara, Change Manager au métro

Change Manager au métro, Tamara est sortie d’une formation d’un an et demi, qui lui a permis de se familiariser avec le terrain. Une expérience inoubliable, grâce à laquelle elle sait aujourd’hui quels sont les besoins du terrain et peut les transposer dans les grands projets d’évolution du métro. Elle nous en dit plus sur son parcours…

Comment es-tu arrivée à la STIB ?

« Après 5 ans d’études en sciences économiques à Solvay à l’ULB, j’ai travaillé pendant trois mois pour une compagnie pétrolière. J’ai très rapidement donné ma démission, car ce n’était vraiment pas pour moi. J’avais besoin de faire un travail qui me parle, qui me permette de contribuer à quelque chose… ce qui est le cas à la STIB ! Avec les grands projets du métro, je peux contribuer à la Bruxelles de demain. »

Depuis combien de temps travailles-tu à la STIB ?

« Cela fait un peu plus de trois ans que j’y travaille, mais dans les faits cela ne fait qu’un an que je travaille réellement en tant que Change Manager au métro. J’ai d’abord été formée aux métiers du terrain, comme la conduite et le dispatching, avant de prendre mes fonctions comme Change Manager au métro. Cela m’a permis de toucher à tout et de réellement comprendre ce qui se passe sur le terrain. J’ai pu non seulement être confrontée aux métiers en tant que tels, avec toutes leurs subtilités, mais aussi aux spécificités organisationnelles, comme le fait de devoir travailler en shifts. »

En quoi consiste ton travail aujourd’hui ?

« Dans l’équipe d’accompagnement au changement, nous travaillons en binôme avec les Project Managers pour faire en sorte qu’à côté de l’aspect technique, l’aspect humain soit tenu en compte également. C’est pour cette raison qu’il était tellement primordial d’avoir cette formation. Aujourd’hui, je sais à quoi sont confrontés les collègues à la conduite et au dispatching et je peux donc faire office de lien entre les projets et le terrain. Et on ne manque pas de projets au métro : augmentation des fréquences, mise en circulation des nouvelles rames M7, nouvelle signalisation, nouveaux dépôts, etc. De plus, tous ces projets sont liés les uns aux autres : il y a de nouvelles rames, donc il faut de nouveaux dépôts pour les ranger, il faut aussi veiller à leur maintenance, et ainsi de suite.

C’est pour cela qu’il est très important d’aider le terrain à ne pas subir les changements. Nous facilitons le changement au travers de multiples actions afin de faire en sorte que chaque agent soit au mieux préparé et que le changement soit bien accueilli. »

Si tu devais citer ce que tu préfères dans ton travail, qu’est-ce que ce serait ?

« C’est un travail passionnant, avec plein de projets pour l’avenir de Bruxelles, dans une fonction charnière entre les projets et tout ce qu’ils peuvent apporter d’intéressant d’une part, et le côté tangible et palpitant de l’opérationnel d’autre part. Et il y a surtout le côté humain. J’ai pu rencontrer plein de personnes, que ce soit à la conduite, au dispatching, dans les fonctions d’encadrement ou au niveau de la gestion de projets. Ça m’a permis de sortir de ma zone de confort et d’arriver à trouver ma place dans des contextes à mille lieues de ce que j’avais imaginé faire alors que j’étais aux études. Grace à ma formation au métro, j’ai pu toucher au concret du terrain, mais surtout rencontrer plein de personnes que je porte dans mon cœur. »

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